La clé du bonheur n’est pas l’argent
Il y a quelques années, j’avais remis ma lettre de démission.
Un groupe d’investisseurs dont la valeur nette combinée se chiffre en milliards m’avait demandé de gérer un tas de leur argent. L’intérêt était si fort que j’ai dû plafonner le fonds à 100 millions de dollars.
Mais alors que je me préparais à lancer le fonds, quelque chose d’étrange s’est produit
J’ai commencé à remettre en question ma décision. Et ce que j’ai découvert pendant cette période de doute allait changer ma vie pour toujours.
Je me suis rendu compte que peu importe le nombre de zéros que j’ajoutais à ma valeur nette, je n’étais pas plus heureux qu’en tant que rédacteur d’un bulletin d’information. La clé du bonheur n’est pas l’argent.
Cette prise de conscience m’a sidéré
J’ai compris que mon bonheur allait en fait diminuer si je me remettais à gérer mon argent.
Mes amis, lorsque vous essayez de vous enrichir encore plus avec quelque chose qui réduit votre bonheur… vous prenez une mauvaise décision.
J’ai compris qu’aider les gens ordinaires, les gens de tous les jours, à améliorer leur valeur nette est beaucoup plus satisfaisant que d’aider quelqu’un qui vaut des milliards à gagner quelques centaines de millions de plus.
Aucune somme d’argent ne peut remplacer la « richesse » intangible et le bonheur personnel que je ressens en ajoutant de la valeur à la vie d’une personne pas encore riche.
Voici pourquoi je vous dis cela…
La clé du bonheur n’est pas l’argent
Récemment, j’ai envoyé une alerte de vente aux abonnés de ma newsletter crypto phare, L’Investisseur Crypto Confidentiel. Et beaucoup ont eu l’occasion de réaliser des gains massifs allant jusqu’à 37 500 % sur plusieurs de mes recommandations de cryptomonnaies.
Depuis lors, j’ai reçu des dizaines de lettres de lecteurs qui ont fait des gains qui ont changé leur vie grâce à mes recommandations.
Certains m’ont dit qu’ils avaient utilisé leurs gains pour prendre une retraite anticipée… D’autres ont utilisé leurs bénéfices pour voyager dans le monde entier ou rembourser des hypothèques… Et quelques-uns ont même créé leur propre entreprise.
Une personne m’a écrit : » Merci beaucoup pour tout votre travail et votre persévérance… Et je remercie Dieu de vous avoir mis sur mon chemin. »
Je ne peux pas mettre de mots sur ce que cela signifie pour moi
Quand je travaillais à Wall Street, je n’aimais pas qui j’étais. Je m’étais laissé devenir une machine centrée uniquement sur mes désirs. Je suis devenu avide. Et mon ego a fini par prendre le dessus sur moi. Mais la clé du bonheur n’est pas l’argent.
Et quand le marché s’est retourné contre moi, j’ai tout perdu. Et je veux dire tout. Mes maisons… mes voitures… ma collection de montres. Même ma femme, car nous nous sommes séparés. J’étais émotionnellement brisé. J’ai quitté Wall Street et je me suis frayé un chemin d’un emploi ennuyeux à un autre.
J’ai vendu des photos d’archives à des agences de publicité
J’ai pris des commandes pour le déjeuner dans un restaurant où j’avais l’habitude de manger. J’ai essayé d’être recruteur et j’ai même vendu des logiciels pendant un an. Après environ deux ans de ce vagabondage sans but, j’ai su que je devais changer. Je devais faire quelque chose de différent.
J’ai toujours su que j’étais né pour travailler sur les marchés financiers. C’est dans mon sang. Je me suis donc longuement regardé dans le miroir et j’ai fait de sérieux changements.
Je suis revenu à Wall Street avec un nouveau respect pour le risque et un nouveau respect pour mes clients
Je me suis concentré sur la valeur ajoutée pour mes clients tout en gardant un œil attentif sur la gestion des risques. En quelques années, j’ai récupéré tout ce que j’avais perdu et plus encore.
Mais j’étais toujours prisonnier d’un écosystème construit autour de la troisième place du client. En premier lieu, il y avait la société, en deuxième lieu, le conseiller, et enfin, en troisième lieu, le client. Même si j’avais changé, j’ai réalisé que le système dans lequel j’étais ne changerait jamais.
C’est alors que j’ai décidé de quitter Wall Street et d’écrire pour vous
J’ai vite appris qu’aider quelqu’un qui n’est pas encore riche à le devenir me procure plus de joie que d’aider des millionnaires à gagner quelques millions de plus. Je suis très fier de pouvoir le faire à cette échelle. Personne dans le secteur des lettres d’information ne l’avait jamais atteinte auparavant.
Mais ce dont je suis vraiment fier, c’est la confiance que vous m’avez accordée pendant le brutal hiver crypto 2018-19… lorsque le bitcoin a chuté jusqu’à 84 %.
Je ne peux même pas mentionner ce qu’il y avait dans les emails désagréables que j’ai reçus pendant cette période. Les critiques ont dit que j’étais téméraire et imprudent pour recommander d’investir dans la crypto.
Mais je savais que je ne l’étais pas. Et pour ceux d’entre vous qui sont restés avec moi … vous avez vu la plus grande vision. Et c’est quelque chose dont vous devez être fiers.
Parce que c’est vous qui avez fait ça, pas moi
J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour que vous restiez concentrés sur la vision d’ensemble pendant ces moments terribles. Mais c’est vous qui avez dit : « D’accord, je vais croire en ce type. Je vais croire en ses recherches. Je vais croire en l’avenir qui se développe autour de ces actifs dont tout le monde dit qu’ils sont ridicules et n’ont aucune valeur ».
Et la confiance que vous avez montrée en moi – et en vous-même – pour maintenir le cap jusqu’à l’autre côté où tant d’entre vous voient des gains qui changent la vie… C’est écrasant pour moi.
Autant que j’ai fait pour vous, vous avez fait encore plus pour moi. Vous m’avez permis de me racheter pour les péchés que j’ai commis en tant que jeune homme impressionnable à Wall Street. Et c’est un cadeau sur lequel je ne peux pas mettre un chiffre. Car la la clé du bonheur n’est pas l’argent.