Dès 1946, l'entreprise commercialise en masse ses modèles 4 chevaux dont la fameuse Dauphine en 1956 qui s’est fabriquée à plus de 2 millions d’exemplaires.
La première voiture Renault est conçue en 1898 par Louis Renault. En 1902, le premier moteur 2 cylindres est créé. S’ensuivra en 1905 la production des taxis AG 1 développant une puissance de 8 chevaux.
Les commandes s’intensifient jusqu’en 1914, début de la première guerre mondiale où l’entreprise est mobilisée pour l’effort de guerre, notamment avec les taxis de la Marne ayant transportés 4 000 hommes sur le front.
La voiture étant alors jusqu’ici réservée à une population privilégiée, c’est en 1924 que Louis Renault instaure l’accès au crédit grand public pour l’acquisition de véhicules de la marque.
Les années 30 marquent l’intensification industrielle du groupe, notamment via l’ouverture de son usine à Boulogne-Billancourt où des véhicules 8 cylindres y sont fabriqués. Le groupe est déjà implanté à l’international.
Dès 1946, l'entreprise commercialise en masse ses modèles 4 chevaux dont la fameuse Dauphine en 1956 qui s’est fabriquée à plus de 2 millions d’exemplaires.
C’est en 1959 que l'entreprise lance sa gamme d’utilitaires avec ses modèles Renault Estafette, puis, en 1965, les voitures berlines grand public Renault 16 dites « R16 » sont conçues.
Enjeux énergétiques obligent, 1972 est l’année de la voiture la plus économique car la Renault 5 consomme moins de 5 litres au 100 km.
Ce modèle phare s’est vendu à plus de 5 millions d’unités dans le monde.
Au milieu des années 80, Renault comprend qu’il faut développer des modèles de véhicules orientés familiales, c’est le début des Renault Espace.
Puis, en 1999, l'entreprise signe un partenariat stratégique avec le groupe Nissan et acquiert 36,8 % du capital de Nissan. On parle alors d’alliance Renault-Nissan.
Un an plus tard, l'entreprise lance la Safrane, une berline haut de gamme.
Sans oublier la reine des citadines du début des années 90 : la Twingo.
Renault : 2,67 millions de véhicules vendus en 2017.
Dacia : 655 235 véhicules vendus en 2017.
Renault Samsung Motors, marque commercialisée en Corée du Sud : 99 846 véhicules vendus en 2017.
Alpine, renaissance du modèle historique via un coupé sportif Alpine A 110 très attendu.
Son tarif avoisinera les 60 000 €.
Actuellement disponible en précommandes
Lada, principalement destinée au marché Russe : 335 564 véhicules vendus en 2017.
Dans le domaine de l’innovation, les principaux enjeux sont l’électrique, la connectivité, l’autonomie et les services de mobilité.
Pour l’électrique, le groupe est le N°1 européen. Son modèle le plus connu est la ZOE. Les enjeux climatiques actuels jouent en faveur du développement de cette branche.
Concernant la connectivité, l’intégration des Smartphones s’est améliorée au sein des nouveaux véhicules Renault via, à titre d’exemple, Android auto, intégrant notamment au tableau de bord l’application GPS gratuite très répandue WAZE.
Pour les véhicules autonomes, nous pourrions voir les premières utilisations grand public d’ici 2020, résultant d’années de recherche et développement. Pour la marque ce système de véhicule autonome est en développement sur la base du système « ADAS » Advanced Driver Assistance System.
Concernant les services de mobilité, il s’agit par exemple d’offrir aux usagers des véhicules partagés « free-floating ». Les véhicules de la mobilité de demain seront le plus souvent électriques et autonomes.
Renault S.A détient :
Dont Renault s.a.s détient :
La structure de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi est sous forme de participation croisée : Renault S.A détient 43,4 % de Nissan Motor tandis que Nissan Finance Co. détient 15 % de Renault S.A. Même principe pour Daimler dont Renault S.A détient 1,55 % tandis que Daimler détient 3,10 % de Renault S.A.
Carlos Ghosn, Président Directeur Général de Renault S.A.
D’origine brésilienne, Carlos Ghosn, est diplômé de Polytechnique et de l’école des mines de Paris.
Après une carrière chez Michelin, il intègre le groupe en 1996 et est nommé PDG en 2009. Entre 2001 et 2017, il occupe aussi le poste de PDG chez Nissan Motor.
De gauche à droite : Bruno Ancelin est le directeur produits et programmes ; Thierry Bolloré occupe le poste de directeur général adjoint ; Philippe Brunet est directeur de la branche moteurs thermiques et électriques ; Philippe Buros est directeur commercial France ; Fabrice Cambolive est directeur des opérations en régions Afrique-Moyen-Orient-Inde.
Arnaud Deboeuf est le directeur de Renault-Nissan BV et directeur délégué à la présidence ; Jose-Vicente De Los Mozos Obispo occupe le poste de directeur des fabrications et de la logistique ; Clotilde Delbos est directeur financier du groupe ; Hakan Dogu est directeur des services après-vente ; Gaspar Gascon Abellan est directeur de l’ingénierie ; Philippe Uérin-Boutaud est directeur qualité et satisfaction client.
Ashwani Gupta est directeur de la branche véhicules utilitaires ; Ali Kassai est directeur produit planning ; Thierry Koskas est directeur commercial ; Jean-Christophe Kugler est directeur des opérations région Europe ; Nadine Leclair occupe la fonction d’expert fellow (branche ingénierie) ; Nicolas Maure est directeur des opérations Eurasie.
Olivier Murguet est directeur des opérations Amériques ; Gilles Normand directeur de la division véhicules électriques ; Thierry Piéton directeur de la performance et du contrôle ; François Provost est directeur des opérations région Asie-Pacifique ; François Roger est directeur des ressources humaines ; Véronique Sarlat-Depotte est directrice des achats.
Mouna Sepehri est directrice déléguée à la présidence ; Christian Steyer est directeur projets ; Mark Sutcliffe est directeur de la stratégie industrielle et supply chain ; Laurens Van Den Acker est directeur Design et Frédéric Vincent président des branches digitales et des systèmes d’information.
Fin 2017, le groupe compte également plus de 181 000 collaborateurs.
Les risques liés au compte de résultat de la société sont principalement une éventuelle baisse de la demande en véhicules neufs, des augmentations des coûts internes et/ou externes.
Les risques liés au bilan de Renault S.A sont une éventuelle baisse de la valeur des actifs et/ou une hausse des passifs décolérés des actifs.
Il existe également des risques liés aux marchés boursiers des actions :
Le prix des actions fluctue quotidiennement sur les marchés financiers. L’investisseur verra donc son capital s’apprécier ou se déprécier en corrélation à ces variations de cours. L’environnement économique, les perspectives de l’entreprise sont des vecteurs pouvant influencer les cours des actions.
En cas de difficultés structurelles, une société cotée peut faire faillite, déposer son bilan et être soumise à une liquidation.
L’investisseur peut être confronté à une impossibilité totale ou partielle d’acheter ou vendre ses actions. Il devra alors, soit patienter, soit réduire son cours d’achat ou de vente. Ce risque est surtout présent sur des sociétés ayant des faibles capitalisations boursières.
Si l’investisseur dispose d’actions libellées dans des devises différentes à celles de son compte-titres, il s’expose au risque de change pouvant lui être favorable ou défavorable.
Nous vous rappelons en outre que la diversification est un élément clé de tout portefeuille, permettant de réduire considérablement le risque. Nous vous conseillons donc idéalement d’engager entre 2 % et 4 % de votre portefeuille par société, ce qui correspond à un nombre de positions comprises entre 25 et 50.
L’acquisition d’actions du groupe est possible via un compte-titres ou via un PEA.
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