Andy Cosslett est le président du comité exécutif de Kingfisher depuis juin 2017. Il fait bénéficier le groupe d’une riche expérience marketing de par son passage à des postes à hautes responsabilités chez Unilever, Schweppes, InterContinental Hotels Group et IHG.
Véronique Laury est l’actuelle PDG de Kingfisher. Elle intègre le secteur du bricolage et de la rénovation d’intérieur il y a 25 ans. Après une première expérience de 15 ans chez Leroy Merlin à différentes fonctions commerciales, elle est nommée directrice générale de Castorama France et directrice de B&Q Royaume-Uni. Elle rejoint Kingfisher en 2003.
Karen Witts occupe le poste de Directeur financier de Kingfisher. Elle bénéficie notamment d’une expérience de CFO (Cheif Financial Officer, directeur financier) au sein du grand groupe Vodafone. Elle est nommée au conseil d’administration de Kingfisher en 2012.
Alastair Robertson occupe le poste de directeur des ressources humaines, Steve Willett est directeur de la transformation digitale, John Colley est le directeur des achats, et Henri Solère est directeur Supply Chain.
Graham Bell est le directeur des enseignes B&Q, Christian Mazauric est directeur du marché français, Sebastien Krysiak est en charge des autres marchés européens et internationaux, et John Mewett est le directeur de Screwfix.
Risques
Les risques liés au compte de résultat de la société sont principalement une éventuelle baisse de la demande en bricolage et en travaux de rénovation, ainsi que des augmentations des coûts internes et/ou externes.
Les risques liés au bilan de kingfisher sont une éventuelle baisse de la valeur des actifs et/ou une hausse des passifs décorrélés des actifs.
Il existe également des risques liés aux marchés boursiers des actions :
Risque de perte en capital :
Le prix des actions fluctue quotidiennement sur les marchés financiers. L’investisseur verra donc son capital s’apprécier ou se déprécier en corrélation à ces variations de cours. L’environnement économique, les perspectives de l’entreprise sont des vecteurs pouvant influencer les cours des actions.
Risque de faillite :
En cas de difficultés structurelles, une société cotée peut faire faillite, déposer son bilan et être soumise à une liquidation.
Risque de liquidité :
L’investisseur peut être confronté à une impossibilité totale ou partielle d’acheter ou vendre ses actions. Il devra alors, soit patienter, soit réduire son cours d’achat ou de vente. Ce risque est surtout présent sur des sociétés ayant des faibles capitalisations boursières.
Risque de change :
Si l’investisseur dispose d’actions libellées dans des devises différentes à celles de son compte-titres, il s’expose au risque de change pouvant lui être favorable ou défavorable.
Nous vous rappelons en outre que la diversification est un élément clé de tout portefeuille, permettant de réduire considérablement le risque. Nous vous conseillons donc idéalement d’engager entre 2 % et 4 % de votre portefeuille par société, ce qui correspond à un nombre de positions comprises entre 25 et 50.
Comment investir en actions Kingfisher
L’acquisition d’actions Kingfisher est possible via un compte-titres ou via un PEA.